Vidéo: Principaux muscles de la tête et du cou
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Salut à tous ! Ici Nicole de Kenhub, aujourd’hui dans notre tutoriel, nous examinerons les principaux muscles de la tête et du cou. La tête, que vous pouvez voir à droite en vue frontale sans sa peau, ...
En savoir plusSalut à tous ! Ici Nicole de Kenhub, aujourd’hui dans notre tutoriel, nous examinerons les principaux muscles de la tête et du cou. La tête, que vous pouvez voir à droite en vue frontale sans sa peau, est la structure la plus haute du corps humain. Elle est attachée au tronc du corps par le cou et contient le cerveau, les oreilles, les yeux, le nez et la bouche. Dans ce tutoriel, nous examinerons certains des principaux muscles que l'on trouve dans la région de la tête et du cou, y compris les muscles de la mastication, les muscles de l'expression faciale, les muscles suprahyoïdiens et infrahyoïdiens et les muscles latéraux du cou.
Commençons par examiner les muscles de la mastication.
Le premier muscle de la mastication que nous examinerons est le muscle temporal. Ce muscle est également connu sous son nom latin de temporalis. Plat et en forme d'éventail, le muscle temporal est situé sur le côté latéral du crâne et vous pouvez mieux distinguer sa forme à droite. Son origine se situe dans la fosse temporale, qui est une grande dépression peu profonde de la face latérale du crâne, qui est mise en évidence à droite en vert. Les fibres de ce muscle descendent ensuite par l'espace entre l'arcade zygomatique et le crâne et s'insèrent via un tendon épais sur le processus coronoïde de la mandibule.
Le muscle temporal est innervé par les nerfs temporaux profonds, qui sont des rameaux du nerf mandibulaire; la troisième division du cinquième nerf crânien, le nerf trijumeau. Le muscle temporal peut être divisé en deux parties selon sa fonction. La partie antérieure du muscle déplace la mandibule vers l'avant ou facilite la protrusion de la mandibule, et la partie postérieure du muscle, quant à elle, facilite l'élévation et la rétraction de la mandibule. En d'autres termes, ce muscle tire la mandibule vers le haut et vers l'arrière.
L'activation des parties antérieure et postérieure du muscle temporal élève la mandibule, entraînant une puissante fermeture de la mâchoire. Il convient de noter que le muscle temporal est le muscle le plus puissant de l'articulation temporomandibulaire. En raison de sa taille, ce muscle peut être palpé relativement facilement, surtout lors de l'ouverture et de la fermeture de la bouche.
Le prochain muscle de la mastication que nous allons examiner est le muscle masséter. Bien que le temporal soit le muscle le plus puissant de l'articulation temporomandibulaire, le masséter est pour sa part le muscle le plus puissant de la mastication, autrement dit le principal muscle de la mastication. Ce muscle épais de forme rectangulaire est composé d'une partie superficielle et d'une partie profonde. Les deux parties de ce muscle prennent leur origine sur l'arcade zygomatique. Cependant, la partie superficielle du muscle s'insère sur la tubérosité massétérique à la surface externe de l'angle de la mandibule, tandis que la partie profonde s'insère sur la surface externe du ramus de la mandibule. L'ensemble du muscle est innervé par le nerf massétérique, un rameau du nerf mandibulaire qui est la troisième division du cinquième nerf crânien, le nerf trijumeau.
La fonction du muscle masséter est d'élever la mandibule, provoquant une fermeture puissante de la mâchoire. Lorsque la partie superficielle du muscle se contracte, elle provoque la protrusion de la mandibule en la déplaçant vers l'avant. En plus de fermer la mâchoire, le masséter aide également à stabiliser la tension de la capsule articulaire de l'articulation temporomandibulaire. On peut palper ce muscle depuis la cavité buccale au point d'insertion de ses fibres profondes.
Le troisième muscle de mastication que nous examinerons est le muscle ptérygoïdien latéral, qui est l'un des deux muscles ptérygoïdiens de la mâchoire. Ce muscle se trouve en profondeur par rapport au muscle masséter et superficiellement par rapport au muscle ptérygoïdien médial que nous verrons plus tard. Le muscle ptérygoïdien latéral est un muscle à deux chefs, qui sont disposés horizontalement l’un par rapport à l’autre. Le chef supérieur du muscle prend son origine sur la crête infratemporale de la grande aile de l'os sphénoïde et s'insère sur le disque articulaire de l'articulation temporomandibulaire.
Le chef inférieur du muscle ptérygoïdien latéral prend son origine sur le processus ptérygoïde de l'os sphénoïde et s'insère sur le processus condylaire de la mandibule. L'ensemble du muscle est innervé par le nerf ptérygoïdien latéral, un rameau du nerf mandibulaire. Contrairement aux autres muscles de la mastication, le muscle ptérygoïdien latéral a pour rôle d’ouvrir la mâchoire. La contraction bilatérale du muscle résulte également en une protrusion de la mâchoire, tandis qu'une contraction unilatérale déplace la mandibule latéralement. Ce mouvement est également connu sous le nom de diduction.
Le dernier muscle de la mastication que nous allons examiner est le muscle ptérygoïdien médial. Comme vous pouvez le voir, il est situé en dessous du ptérygoïdien latéral. Le muscle ptérygoïdien médial a également deux chefs : un chef profond et un chef superficiel. Les faisceaux du muscle ptérygoïdien médial prennent leur origine sur la fosse ptérygoïdienne et le processus ptérygoïde de l'os sphénoïde et s'insèrent distalement sur la tubérosité ptérygoïdienne de la surface interne de la mandibule. Il est innervé par le nerf ptérygoïdien médial, qui est également un rameau du nerf mandibulaire. La contraction de ce muscle élève la mâchoire, la fermant et provoquant la protrusion de la mandibule.
Maintenant que nous avons terminé avec les muscles de la mastication, intéressons-nous aux muscles de la mimique ou de l'expression faciale. Avant de parler des muscles individuels, je tiens à préciser que nous ne couvrirons pas tous les muscles de la mimique dans ce tutoriel. Cependant, les muscles que nous étudierons peuvent être divisés en trois groupes : les muscles orbitaux, les muscles nasaux et les muscles oraux.
Commençons par les muscles orbitaux. Le premier muscle de la mimique dont je veux parler est le corrugateur du sourcil, visible ici en vert. Ce muscle prend son origine dans l'arcade sourcilière. Il s'insère sous la peau des sourcils et est innervé par le septième nerf crânien, c’est à dire, le nerf facial. Ce muscle rapproche et abaisse les sourcils, par exemple, lorsque nous fronçons les sourcils. Il est donc aussi connu comme le muscle du froncement.
Un autre muscle de la mimique appartenant au groupe orbitaire est le muscle orbiculaire de l'œil. Ce muscle entoure l'orbite et s'étend dans la paupière. Il est composé de trois parties : une partie orbitaire, une partie palpébrale et une partie lacrymale. L'ensemble du muscle est innervé par les rameaux temporaux et zygomatiques du nerf facial. Le muscle orbiculaire de l'œil a plusieurs fonctions. Par exemple, la partie palpébrale facilite la fermeture lente de la paupière, tandis que la partie orbitaire est responsable de la fermeture forcée de la paupière. De plus, ce muscle aide également à la distribution du film lacrymal et au drainage des larmes en contribuant à la vidange du sac lacrymal.
Après avoir examiné le groupe orbitaire des muscles de la mimique, passons au groupe nasal. Le muscle procérus prend son origine sur l'arête nasale et s'insère sous la peau entre les sourcils. Il est innervé par le nerf facial et son activation ou sa contraction abaisse les sourcils, provoquant ainsi la formation de rides transversales au-dessus du nez.
Appartenant également au groupe nasal des muscles de la mimique, on retrouve le muscle nasal. Ce muscle prend son origine dans le maxillaire et s'insère dans l'aponévrose sur le dos du nez ainsi que dans les cartilages nasaux. Il est innervé par le rameau buccal du nerf facial. Le muscle nasal, également connu sous le nom de muscle des narines, peut être divisé en deux parties, chacune ayant une fonction différente. La partie transversale du muscle, également connue sous le nom de muscle compresseur des narines, comprime les narines, tandis que la partie alaire, également connue sous le nom de muscle dilatateur de la narine, ouvre les narines.
Passons maintenant au groupe buccal, ou oral, des muscles de la mimique. Le premier muscle de ce groupe que nous examinerons est le muscle petit zygomatique. Il prend son origine dans le corps de l'os zygomatique et s'insère sous la peau de la lèvre supérieure à l’angle de la bouche, à côté de l'insertion du muscle releveur de la lèvre supérieure. Le muscle petit zygomatique est innervé par le nerf facial. La contraction de ce muscle élève la lèvre supérieure. Il participe donc au sourire.
Le muscle grand zygomatique appartient également au groupe de muscles oraux et est situé latéralement au petit zygomatique. Il prend origine sur l'os zygomatique, latéralement à l'origine du muscle petit zygomatique, et s'insère sous la peau à l’angle de la bouche, autour du muscle orbiculaire de la bouche. La fonction du muscle grand zygomatique est de relever l’angle de la bouche de façon superolatérale, donnant naissance à un sourire. Il est lui aussi innervé par le nerf facial.
Le muscle buccinateur, qui est plus profond que les autres muscles de la mimique, forme la paroi latérale de la région buccale dans la cavité orale. Il prend ses origines dans la mâchoire supérieure (le maxillaire) et la mâchoire inférieure (la mandibule) et s'insère à l’angle de la bouche. Comme tous les muscles de la mimique, le buccinateur est innervé par le nerf facial. La contraction de ce muscle tire les joues vers l'intérieur. Il aide à la mastication en maintenant la nourriture sur la surface occlusale des dents postérieures pendant la mastication.
Le muscle suivant, le muscle risorius, est souvent appelé le muscle du rire. Ce muscle fin prend origine dans le fascia du masséter et s'insère sous la peau de l’angle de la bouche. Il est également innervé par le nerf facial. On l'appelle "muscle du rire" car il étire les lèvres latéralement lorsqu’il se contracte, ce qui rétracte la commissure labiale, élargissant ainsi de façon visible la bouche comme lorsqu'on sourit.
Le muscle orbiculaire de la bouche encercle la bouche et contrôle sa forme ainsi que l’amplitude de son ouverture. Ses fibres s'insèrent sous la peau et les muqueuses des lèvres. La fonction de ce muscle est de bouger les lèvres. Par exemple, pour les pincer, les séparer, les fermer ou faire une grimace. Il est innervé par le nerf facial.
Le muscle abaisseur de l'angle de la bouche appartient aussi au groupe des muscles oraux de l'expression faciale. Ce muscle de forme triangulaire prend son origine sur le bord inférieur de la mandibule. Il s'insère sous la peau de l’angle de la bouche. Comme son nom l'indique, la contraction de ce muscle abaisse l'angle de la bouche, par exemple lorsque l'on boude. Il est aussi innervé par le nerf facial.
Le dernier muscle de la mimique que nous aborderons dans ce tutoriel est le muscle mentonnier. Ce muscle prend origine sur la mandibule près de la ligne médiane et s'insère sous la peau du menton. Il forme également le sillon entre la lèvre inférieure et le menton. La contraction de ce muscle élève le menton, faisant saillir la lèvre inférieure et rétrécissant le vestibule oral. Il est également innervé par le nerf facial.
Maintenant que nous avons terminé l'examen des muscles de la mimique, jetons un coup d'œil aux muscles suprahyoïdiens et infrahyoïdiens en commençant par les suprahyoïdiens. Ces muscles aident à la mastication et à la déglutition. Il existe quatre muscles suprahyoïdiens, mais nous n'en couvrirons que trois dans ce tutoriel, le muscle stylohyoïdien étant traité dans un tutoriel à part. Commençons par le muscle digastrique.
Le muscle digastrique est composé de deux parties : un ventre antérieur et un ventre postérieur, séparés par un tendon intermédiaire. Le ventre antérieur du muscle digastrique prend origine dans la fosse digastrique de la mandibule. Étant donné qu'il provient embryologiquement du premier arc branchial embryonnaire, il est innervé par le nerf mylohyoïdien, un rameau du nerf mandibulaire. Le ventre postérieur, quant à lui, prend son origine sur l'incisure mastoïdienne de l'os temporal. Puisqu'il provient du deuxième arc branchial, il est innervé par le nerf facial. Les fibres des deux ventres s'insèrent sur le tendon intermédiaire. Fonctionnellement, le muscle digastrique élève l'os hyoïde et abaisse la mandibule.
Le muscle mylohyoïdien est situé profondément par rapport au muscle digastrique. Il prend origine dans la ligne mylohyoïdienne de la mandibule. Sur cette image, vous pouvez voir ses fibres provenant du raphé mylohyoïdien au milieu. Il s'insère antérieurement sur le corps de l'os hyoïde. Il est innervé par le nerf mylohyoïdien, un rameau du nerf mandibulaire. Le muscle mylohyoïdien forme le plancher de la bouche et sert à élever l'os hyoïde et à abaisser la mandibule.
Le troisième muscle suprahyoïdien que nous examinerons est le muscle géniohyoïdien que l'on voit ici. Ce muscle prend origine dans l'épine mentonnière à la surface interne de la mandibule. Il se dirige ensuite postérieurement et vers le bas pour s'insérer sur le corps de l'os hyoïde. Il est innervé par les rameaux du plexus cervical ainsi que par les nerfs cervicaux C1 et C2 qui sont accompagnés du douzième nerf crânien - le nerf hypoglosse. La fonction du muscle géniohyoïdien est d'élever l'os hyoïde et le plancher de la bouche.
Passons maintenant aux muscles infrahyoïdiens. Parmi eux, nous ne verrons aujourd'hui que le muscle omohyoïdien. Il est divisé en deux parties : un ventre supérieur et un ventre inférieur. Le ventre supérieur de l'omohyoïdien provient de ce tendon intermédiaire et s'insère sur le bord latéral de l'os hyoïde. Le ventre inférieur provient du bord supérieur de la scapula. De là, il monte en direction crâniomédiale, traversant la veine jugulaire interne et se transformant en un tendon intermédiaire. Comme tous les muscles infrahyoïdiens, l'omohyoïdien est innervé par l'anse cervicale profonde issue du plexus cervical. La contraction de ce muscle abaisse l'os hyoïde.
Maintenant que nous avons terminé avec les muscles supra et infrahyoïdiens, intéressons-nous à notre dernier groupe musculaire de la tête et du cou : les muscles latéraux du cou. Le muscle sternocléidomastoïdien possède deux chefs : un chef sternal et un chef claviculaire. Le chef sternal de ce muscle prend origine dans le manubrium du sternum, tandis que son chef claviculaire provient de la partie médiale de la clavicule. L'ensemble du muscle s'insère en haut sur le processus mastoïde de l'os temporal et sur la ligne nucale supérieure de l'os occipital. Il est innervé par le onzième nerf crânien “le nerf accessoire” et par des rameaux directs du plexus cervical. La contraction bilatérale de ce muscle tend la tête, provoquant une extension dorsale de celle-ci, tandis que la contraction unilatérale fléchit latéralement la colonne cervicale du même côté et tourne la tête du côté opposé. C'est aussi un muscle accessoire de l'inspiration lorsque la tête est en position fixe.
Ensuite, jetons un œil aux muscles scalènes, qui sont des muscles cervicaux pairs. Il y a trois muscles scalènes : le muscle scalène antérieur, le muscle scalène moyen et le muscle scalène postérieur. Notez que l'image à droite montre le muscle scalène antérieur. Il est aussi à noter que ces trois muscles sont innervés par des branches directes des plexus cervical et brachial.
Commençons par le muscle scalène antérieur que vous pouvez voir ici. Ce muscle prend origine sur les tubercules antérieurs des processus transverses de la troisième à la sixième vertèbre cervicale et s'insère sur la première côte. La contraction bilatérale de ce muscle entraîne une flexion ventrale de la colonne cervicale, tandis que la contraction unilatérale entraîne une flexion latérale de la colonne cervicale du même côté. De plus, ce muscle élève également les côtes, agissant ainsi comme un muscle accessoire de l'inspiration.
Le deuxième des muscles scalènes est le muscle scalène moyen. Son origine se situe sur les tubercules postérieurs des apophyses transverses de la troisième à la septième vertèbre cervicale. Ce muscle s'insère sur la première côte. De la même manière que le muscle scalène antérieur, la contraction unilatérale du muscle scalène moyen entraîne une flexion latérale de la colonne cervicale du même côté. Il élève également les côtes et est donc lui aussi un muscle accessoire de l'inspiration.
Le troisième muscle scalène, le muscle scalène postérieur, prend origine sur les tubercules postérieurs des apophyses transverses de la cinquième à la septième vertèbre cervicale. L'ensemble du muscle s'insère sur la deuxième côte. En termes de fonction, il élève la deuxième côte, agissant ainsi comme un muscle accessoire de l'inspiration. Cette fonction entraîne également une flexion latérale de la colonne cervicale du même côté.
Le dernier muscle que nous examinerons est ce muscle pair superficiel du cou, appelé le platysma. Ce muscle cutané superficiel est directement relié à la peau et s'étend de la peau du visage, légèrement au-dessus des insertions de la mâchoire inférieure, jusqu'à la hauteur de la deuxième côte. Ce muscle participe au changement d'expression faciale, mais contribue également à rider le cou, abaisser les angles de la bouche et la mandibule. Il est innervé par le septième nerf crânien, soit le nerf facial. Avec l'âge et la perte progressive de l'élasticité de la peau, les faces internes du platysma forment deux rides longitudinales visibles sur le cou.
Maintenant que nous avons parlé de certains des principaux muscles de la tête et du cou, j'aimerais évoquer une affection médicale qui touche certains des muscles faciaux : la paralysie a frigore. La paralysie a frigore, ou de Bell dans l’Anglosphère, est une affection caractérisée par la paralysie, la faiblesse ou l'incapacité de mouvement des muscles du visage. Cette condition est causée par un endommagement du nerf facial. Elle se traduit généralement par l'incapacité de bouger un côté du visage et affecte la parole, la mastication et la mimique. Plusieurs facteurs peuvent en être la cause, notamment une inflammation du nerf due à une infection par le virus varicelle-zona (VZV), un AVC, des tumeurs, ou à la suite d'une fracture de l'os pétreux, aussi connu sous le nom de rocher.
Maintenant que vous avez terminé ce tutoriel, il est temps pour vous de poursuivre votre apprentissage en testant et en appliquant vos connaissances. Vous avez trois façons de le faire ici, chez Kenhub. La première est en cliquant sur notre bouton "commencer l'entraînement", la seconde en parcourant notre bibliothèque d'articles associés, et la troisième en consultant notre atlas.
Bonne chance à tous et à la prochaine !