Vidéo: Muscles de la mastication
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Mâcher : une chose que nous faisons tous les jours sans trop y prêter attention. Facile et sans effort, cela ne nécessite sûrement pas une grande coordination, n’est-ce pas ? Faux.
Les mouvements de ...
En savoir plusMâcher : une chose que nous faisons tous les jours sans trop y prêter attention. Facile et sans effort, cela ne nécessite sûrement pas une grande coordination, n’est-ce pas ? Faux.
Les mouvements de la mâchoire ou, pour être plus exact, de la mandibule, doivent être suffisamment dynamiques pour permettre la parole, être suffisamment forts pour croquer une grosse carotte et faire preuve de l’endurance nécessaire pour mâcher un chewing-gum durant cet examen de trois heures. Alors, qu’est-ce qui permet à la mandibule de répondre à toutes ces exigences ? La réponse à cette question se trouve dans ce tutoriel sur les muscles de la mastication.
Au cours de ce tutoriel, nous aborderons brièvement l'anatomie de la mandibule, en nous concentrant spécifiquement sur ses repères osseux pertinents pour les muscles de la mastication. Nous apprendrons ensuite tout ce qu’il faut savoir sur l’articulation temporomandibulaire située entre la mandibule et le crâne, ainsi que sa morphologie articulaire et son amplitude de mouvement. Une fois que nous aurons explorer tout ce qui bouge durant la mastication et dans quelle direction, nous aborderons l'anatomie et la fonction des quatre muscles de la mastication. Il s’agit du muscle ptérygoïdien médial, du muscle ptérygoïdien latéral, du muscle masséter et enfin du muscle temporal. Une fois que nous aurons parcouru l’anatomie, nous aurons droit à une note clinique en guise de dessert.
Mais avant d’entrer dans le vif du sujet, familiarisons-nous simplement avec la raison pour laquelle ces muscles existent. Le but de leur existence est d’assurer la mastication, qui est le processus de broyage et de division des aliments en petits morceaux dans la cavité buccale, les transformant en une belle masse molle agglutinée ou, si nous utilisons le terme approprié, en un bol alimentaire. Alors pourquoi avons-nous besoin de ce bol alimentaire ?
A vrai dire, pour deux raisons. Premièrement, essayez d’avaler un choux de Bruxelles. Cela sera tout bonnement impossible, à moins qu’il soit réduit en un bol alimentaire pour être facilement avalé. Deuxièmement, la mastication est la première étape de la digestion, qui permet d’augmenter la surface sur laquelle les enzymes digestives peuvent agir. Voyons maintenant quelques-uns des éléments clés de la mastication.
Si vous vous demandez pourquoi nous parlons d'un os dans une vidéo dédiée aux muscles, sachez que la mandibule représente le point d'insertion de chacun de nos quatre muscles de la mastication, il est donc nécessaire de se familiariser avec son anatomie. Si on désarticule la mandibule du crâne, comme nous le faisons à l’instant, nous pouvons voir que la mandibule peut être subdivisée en trois parties : le corps, les deux branches ou ramus de chaque côté, et l'angle de la mandibule qui relie les branches au corps.
Les ramus de la mandibule ont une forme très particulière, principalement due à deux processus qui se projettent vers le haut. Situé sur la partie la plus antérieure on retrouve : le processus coronoïde, et à la partie postérieure nous avons le processus condylaire. Le processus condylaire a une tige mince appelée col de la mandibule qui s'évase vers l'extérieur et vers le haut pour créer une longue protubérance au sommet appelée condyle de la mandibule. Le condyle de la mandibule est recouvert de cartilage articulaire et sa morphologie est fonctionnellement importante, car le condyle de la mandibule forme la surface articulaire inférieure de l'articulation temporomandibulaire.
Voici le condyle de la mandibule. Regardez comment il s'emboîte parfaitement dans la fosse mandibulaire de l’os temporal. C’est en fait de là que l’articulation temporomandibulaire tire son nom, car c’est l’articulation entre les os temporal et la mandibule.
Cette articulation est un peu spéciale, car elle ne rentre pas vraiment dans une cavité articulaire synoviale typique, telle une articulation trochléenne ou cotyloïde. Par conséquent, de quel type d’articulation s’agit-il ? Eh bien, si nous effectuons un petit zoom arrière sur cette vue latérale du crâne et que nous prenons la section longitudinale de l'articulation, nous pouvons voir qu’elle est ce que nous appelons une articulation de type bicondylaire. Une articulation ginglyme classique ne permet généralement un mouvement que dans un seul axe pour effectuer la flexion et l’extension, comme les articulations du coude et du genou. Alors, quelle est la particularité d’une articulation de type bicondylaire ?
En fait, ce type d’articulation possède une capsule articulaire qui est divisée en deux compartiments par un disque articulaire qu’on peut voir juste ici. Le compartiment supérieur est responsable du mouvement de translation, c’est-à-dire, le mouvement d'un côté à l'autre. Tandis que le compartiment inférieur permet un mouvement de pivotement lorsque vous souhaitez ouvrir et fermer la bouche. Ces compartiments permettent à la mandibule d'avoir une large amplitude de mouvement, sans être une articulation cotyloïde qui compromettrait la stabilité. Et juste avant de passer au plat principal, si vous souhaitez acquérir plus d'informations sur la mandibule et l'articulation temporomandibulaire, n'hésitez pas à consulter nos articles spécialement dédiés à leur sujet.
Ainsi, comme nous l'avons mentionné précédemment, les quatre muscles bilatéraux qui composent les muscles de la mastication sont le muscle ptérygoïdien médial, le muscle ptérygoïdien latéral, le muscle masséter et le muscle temporal. Nous commencerons par le plus superficiel d'entre eux : le masséter.
Le masséter est le muscle le plus puissant de la mastication et présente une forme approximativement rectangulaire. Il est recouvert du fascia massétérin, qui est certes mince, mais très solide, et l’isole des structures avoisinantes. C’est le cas de la glande parotide et le conduit parotidien, dont il engaine la partie antéro-latérale. Nous pouvons voir la glande parotide ici sur cette illustration. Le muscle masséter lui-même est divisé en deux couches, une superficielle et une profonde.
Nous examinerons d’abord la couche superficielle qui est mise en évidence en vert. Cette couche prend origine spécifiquement du processus maxillaire de l’os zygomatique et du bord inférieur des deux tiers antérieurs de l’arcade zygomatique. On voit que le muscle descend vers le bas jusqu'à son insertion sur la face latérale ou externe du ramus et de l'angle de la mandibule.
En restant sur cette même vue latérale, si nous mettons maintenant en évidence la couche la plus profonde du muscle masséter, nous pouvons voir qu’elle provient de la face inférieure ou profonde du tiers postérieur de l’arcade zygomatique. Maintenant, ne vous laissez pas tromper par l’angle de vue. La couche profonde est en réalité beaucoup plus large que la superficielle et est également plus musclée. Ses fibres s'étendent vers le bas pour s'insérer le long de la face latérale du ramus de la mandibule jusqu'au processus coronoïde. Et vous serez heureux d’apprendre que les deux couches du masséter ont la même innervation et la même vascularisation. Le masséter est innervé par le nerf massétérique qui dérive du rameau antérieur du nerf mandibulaire et le sang provient de l'artère massétérique qui est une branche de l'artère maxillaire.
Oh et au fait, l'artère maxillaire et le nerf mandibulaire vont beaucoup revenir, car ils alimentent et innervent toutes ces branches destinées aux muscles de la mastication.
Ainsi, les deux couches du masséter se contractent pour élever la mandibule afin que vous puissiez fermer la bouche et obstruer vos dents pendant la mastication pour écraser les aliments, et cette fonction fait partie de la préhension, qui est l'acte de tenir de la nourriture ou de mordre dans quelque chose. La contraction de la couche superficielle aide à la protrusion de la mandibule, ce qui signifie que vous pouvez faire sortir votre menton vers l’avant.
Passons maintenant au muscle temporal, qui est plat, en forme d'hélice et situé sur le côté latéral du crâne, recouvrant une grande partie de l'os temporal d'où il tire son nom. En raison de sa taille, il peut être facilement palpé en ouvrant et en fermant la bouche. Le sentez-vous ?
Le muscle temporal prend naissance de la fosse temporale jusqu'à la ligne temporale inférieure et le fascia temporal qui le recouvre entièrement. De là, le temporal descend à travers l'espace entre l'arcade zygomatique et le crâne, formant un tendon épais qui s'insère au sommet et à la face médiale du processus coronoïde de la mandibule.
Le temporal est innervé à la fois par les rameaux temporaux profonds antérieur et postérieur du nerf mandibulaire que nous pouvons voir ici, et ce muscle est vascularisé par les artères temporales profondes antérieure et postérieure qui naissent de l'artère maxillaire.
Le temporal peut être divisé en deux parties fonctionnelles en fonction de l’orientation de ses fibres. Nous avons donc la partie antérieure qui possède des fibres qui s'étendent verticalement et dont la contraction entraîne l'élévation de la mandibule permettant le rapprochement des dents pour la préhension. Il a également une partie postérieure qui possède des fibres qui s'étendent presque horizontalement et qui participent à l'élévation de la mandibule, mais leur principal rôle est de tirer la mandibule vers l'arrière en rétraction. C'est assez particulier, car c'est le seul muscle capable d'effectuer une rétraction.
Pour pouvoir étudier les prochains muscles, nous allons devoir couper l'arcade zygomatique ici et aussi ici, et si nous retirons ce petit morceau d'os et le muscle temporal, nous pouvons voir plus profondément dans le crâne et révéler les muscles ptérygoïdiens.
Nous allons donc commencer par le muscle ptérygoïdien latéral qui est mis en évidence ici en vert. Il se situe au-dessus du muscle ptérygoïdien médial et est composé de deux chefs qui se trouvent presque horizontalement l'un par rapport à l'autre pour créer une forme triangulaire. Il possède un petit chef supérieur et un grand chef inférieur, examinons-les donc un peu plus en détail.
Alors, sur cette diapositive, seul le chef supérieur a été mis en évidence. Il provient de la crête infratemporale de la grande aile de l'os sphénoïde et ses fibres se déplacent vers l'arrière pour s'insérer dans la capsule articulaire de l'articulation temporomandibulaire.
Observons maintenant le chef inférieur qui est plus grand que son voisin supérieur. Il prend naissance de la face latérale de la lame latérale du processus ptérygoïde de l'os sphénoïde que nous pouvons voir ici. Je suis désolé, il y a beaucoup trop de latéral là-dedans, mais l'un des avantages est que si vous vous souvenez du nom, vous vous souviendrez exactement d'où vient le muscle.
Donc, contrairement au chef supérieur, le chef inférieur possède des fibres qui s'insèrent directement sur la mandibule, plus précisément au niveau de la fovéa ptérygoïdienne, qui se trouve sur le col du processus condylaire. Les deux chefs du ptérygoïdien latéral sont innervées par le nerf ptérygoïdien latéral qui est, encore une fois, un rameau du nerf mandibulaire et le sang artériel est délivré via branche ptérygoïdienne de l'artère maxillaire.
Alors, à quoi sert ce muscle ? Ne vous laissez pas tromper par sa taille relativement petite, ce muscle a de nombreuses fonctions. Les fibres orientées horizontalement du ptérygoïdien latéral tirent le condyle de la mandibule vers l'avant et vers le bas. Ainsi, avec une contraction bilatérale, nos muscles ptérygoïdiens latéraux font saillir notre mandibule et notre menton se déplace vers l'avant et légèrement vers le bas, ce que nous pouvons décrire comme une protrusion et un abaissement de la mandibule, ce qui aide à initier l'ouverture de la bouche. Il faut également noter qu’une fois la bouche ouverte par les ptérygoïdiens latéraux, les principaux abaisseurs de la mandibule sont les muscles digastrique et géniohyoïdien.
Vous vous souvenez que nous avons dit que le chef supérieur s'insère directement dans la capsule articulaire ? Eh bien, cela signifie que lorsque le chef supérieur se contracte, il va tirer le disque articulaire vers l’avant. Cela garantit que le disque articulaire ne reste pas en retrait lors de la protrusion et maintient le contact à la fois avec le condyle de la mandibule et la fosse mandibulaire. Le chef supérieur contribue également à stabiliser le condyle de la mandibule dans l'articulation temporomandibulaire lors de la rétraction et de l'élévation par le muscle temporal, ce qui contribue à garantir l'intégrité de l'articulation et à prévenir la luxation.
Je vous avais prévenu que ce muscle avait beaucoup de fonctions, et nous n'avons pas encore fini. Les ptérygoïdiens latéraux peuvent également provoquer un glissement de la mandibule en cas de contraction unilatérale. Vous n’arrivez pas trop à suivre ? Eh bien, prenons une vue postérieure du crâne pour mieux comprendre. Lorsqu'un des muscles ptérygoïdiens latéraux se contracte de manière isolée, le condyle de la mandibule du même côté effectue une rotation médiale, provoquant un mouvement médial de la mandibule, ce qui est très important lors de la trituration, ou broyage, des aliments.
Le ptérygoïdien latéral n’est pas le seul muscle permettant un mouvement latéral de la mandibule. En effet, il est assisté par son homologue, connu sous le nom de muscle ptérygoïdien médial. Avec le masséter, ce muscle contribue à la formation d'une gaine musculaire qui englobe la mandibule. En fait, il est tout à fait comparable au masséter de par sa fonction similaire et sa forme quadrangulaire, et tout comme le masséter, il possède un chef superficiel et un chef profond. Parlons d’abord du chef superficiel.
Ainsi, le chef superficiel du ptérygoïdien médial provient de la tubérosité maxillaire qui est située juste postérieurement en dessous de vos dents de sagesse, ou là où elles se trouvaient si vous les avez retirées. Ce chef s'attache au processus pyramidal de l'os palatin, et à partir de là, elle se projette vers le bas pour s'insérer sur la face médiale du ramus et de l'angle de la mandibule.
Le chef profond du ptérygoïdien médial prend naissance de la face médiale de la lame latérale du processus ptérygoïde de l'os sphénoïde. Je sais… c’est long et toutes ces médiales et latérales sonnent comme une formule magique. Il serait peut-être préférable de prendre un moment avant de discuter de l'insertion du muscle pour examiner de plus près le processus ptérygoïde.
Je vous présente : l’os sphénoïde. Il a l’air cool, ne trouvez-vous pas ? Sur cette vue postérieure, nous avons mis en évidence les processus ptérygoïdes bilatéraux et chaque processus possède une lame médiale et une lame latérale, et chacune possède des faces médiale et latérale. Alors, où se trouvent nos muscles ptérygoïdiens ? Eh bien, ils s’attachent tous les deux à ça, cette lame latérale qui se trouve juste ici. Donc, si nous remettons maintenant l'os dans le crâne et y ajoutons un peu de musculature, nous pouvons voir que le chef inférieur du muscle ptérygoïdien latéral provient de la face latérale de la lame latérale et que le chef profond du muscle ptérygoïdien médial provient de sa face médiale. Cela rend les choses un peu plus claires, n’est-ce pas ? Génial ! Alors revenons de notre petit détour et parlons insertions.
Heureusement pour nous, les deux chefs du ptérygoïdien médial s’insèrent au même endroit, au niveau de la face médiale de l’angle de la mandibule. L’innervation de ce muscle est assurée par le nerf ptérygoïdien médial qui est, vous l’aurez deviné, également un rameau du nerf mandibulaire. Et pour une fois, pour simplifier les choses, l'apport sanguin provient de la branche ptérygoïdienne de l'artère maxillaire, tout comme nous l'avons vu avec le muscle ptérygoïdien latéral.
Bien qu'elle ne soit pas aussi forte que le masséter, la contraction bilatérale des ptérygoïdiens médiaux aide à l'élévation de la mandibule afin que vous puissiez obstruer vos dents et mordre quelque chose. N'oubliez pas que cela s'appelle la préhension. Les ptérygoïdiens médiaux aident également les ptérygoïdiens latéraux à effectuer une protrusion de la mandibule en cas de contraction bilatérale ou à effectuer des mouvements latéraux en cas de contraction unilatérale afin que vous puissiez broyer vos aliments.
Ouf ! Nous en avons enfin fini avec les muscles. Parlons maintenant clinique.
Le trouble de l'articulation temporomandibulaire, également connu sous le nom de syndrome algo-dysfonctionnel de l’articulation temporomandibulaire, dysfonction de l'appareil manducateur, ou encore désordre temporomandibulaire, est un terme utilisé pour décrire la douleur et le dysfonctionnement des muscles de la mastication et des articulations temporomandibulaires. On sait que ce trouble est causé par de multiples facteurs, mais on comprend encore assez mal comment ces facteurs sont liés les uns aux autres et contribuent au dysfonctionnement. Il a été suggéré que les individus peuvent être prédisposés au syndrome en raison de facteurs prédisposants tels que des facteurs génétiques, hormonaux et anatomiques.
Le trouble peut survenir à la suite d'un traumatisme physique tel qu'un traumatisme contondant ou un traumatisme en coup de fouet cervical aussi appelé coup du lapin. C'est ce qu'on appelle syndrome algo-dysfonctionnel de l’articulation temporomandibulaire post-traumatique de l'articulation temporomandibulaire. Il est également possible que le syndrome se développe à partir d’une cause inconnue appelée trouble idiopathique de l'articulation temporomandibulaire. Mais, quelle que soit l’étiologie, le dysfonctionnement peut être approximativement classé comme étant lié aux muscles ou à l’articulation.
Lorsque le dysfonctionnement est lié aux muscles, cela signifie que la douleur provient des muscles de la mastication en raison d'un fonctionnement anormal, d'une inflammation ou d'une hyperactivité. Si le dysfonctionnement est lié à articulation, cela signifie que l'articulation temporomandibulaire présente des signes de dégénérescence.
Les patients atteints présentent trois symptômes cardinaux, à savoir la douleur et la sensibilité à la palpation ou à la contraction des muscles de la mastication, une amplitude limitée des mouvements de la mandibule, des bruits provenant de l'articulation pendant le mouvement de la mandibule tels que des clics, des claquements ou des grincements causés par un déplacement anormal du disque articulaire lors du mouvement de la mandibule. Et ces symptômes classiques sont utilisés pour le diagnostic clinique et peuvent s’aggraver pendant les périodes de stress émotionnel telles que la dépression et l’anxiété.
Le traitement est généralement pluridisciplinaire et spécifique à l’étiologie. Par exemple, la chirurgie peut être utilisée pour réparer tout dégât causé par un traumatisme contondant, et en revanche, la thérapie cognitivo-comportementale peut être utilisée dans des situations où le trouble s'est développé chez un patient très stressé. Chez la plupart des patients, des analgésiques et des anti-inflammatoires sont administrés pour aider à gérer les symptômes. Et si des facteurs tels que le stress peuvent être gérés et tout facteur aggravant corrigé, le pronostic des patients atteints du trouble de l'articulation temporomandibulaire est généralement assez bon et ils ne présenteront aucun dommage à long terme ni aucune prédisposition à l'arthrite plus tard dans la vie.
Et cela nous amène à la fin de notre vidéo. J'espère que vous l'avez apprécié. Bonnes révisions et à la prochaine !