Vidéo: Colonne vertébrale
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Vous voulez connaître la principale différence entre nous et Bloby ? Eh bien, mis à part le fait qu'il est vert, fait de gelée et qu'il n'a pratiquement aucune ressemblance avec le corps humain, il ne ...
En savoir plusVous voulez connaître la principale différence entre nous et Bloby ? Eh bien, mis à part le fait qu'il est vert, fait de gelée et qu'il n'a pratiquement aucune ressemblance avec le corps humain, il ne possède pas de colonne vertébrale, ce qui est l'une des raisons pour lesquelles il peut se transformer, se plier et se trémousser sur la piste de danse. Les vertèbres qui composent la colonne vertébrale fournissent un soutien structurel, nous permettant ainsi de maintenir une posture verticale. Et même si elles ne nous permettent pas d'être un monstre gélatineux, elles permettent une certaine flexibilité de mouvement. Apprenez-en davantage sur les caractéristiques de la colonne vertébrale dans le tutoriel d'aujourd'hui.
Avant de commencer, voici un bref aperçu de ce que nous examinerons aujourd'hui. Nous commencerons par la colonne vertébrale dans son ensemble et nous découvrirons les cinq régions qui la divisent, soit : les régions cervicale, thoracique, lombaire, sacrée et coccygienne. Ensuite, nous examinerons les caractéristiques générales des vertèbres en nous concentrant sur les principaux composants et repères osseux d'une vertèbre typique. Nous explorerons ensuite les courbures de la colonne vertébrale ainsi que ses mouvements et sa fonction. Pour conclure, nous examinerons quelques notes cliniques liées à cette partie du corps.
Tout d’abord, les régions de la colonne vertébrale. Nous commencerons d’en haut, puis nous progresserons doucement, mais sûrement, vers le bas.
Comme nous le savons déjà, la colonne vertébrale est composée de 33 à 35 vertèbres, dont 24 sont reliées entre elles par des disques intervertébraux cartilagineux. La colonne vertébrale s'étend de la base du crâne jusqu'à la pointe du coccyx et, comme nous l'avons déjà vu, est divisée en cinq régions : les régions cervicale, thoracique, lombaire, sacrée et coccygienne. Les vertèbres cervicales à lombaires sont reliées entre elles par des disques intervertébraux tandis que les vertèbres sacrées et coccygiennes sont fusionnées. Nous allons maintenant examiner de plus près chacune de ces régions.
Il existe sept vertèbres cervicales, toutes situées dans la région du cou. En haut, la colonne cervicale s'articule avec l'os occipital du crâne pour former l'articulation atlanto-occipitale et en bas avec la première vertèbre thoracique.
Le segment le plus long de la colonne vertébrale est la colonne thoracique composée de douze vertèbres. En haut, la colonne thoracique s'articule avec la septième vertèbre cervicale et en bas, avec la première vertèbre lombaire. Chaque vertèbre thoracique s'articule également avec les côtes de la cage thoracique.
La prochaine région de la colonne vertébrale est constituée des cinq vertèbres lombaires. Les vertèbres lombaires sont situées en dessous de la cage thoracique et au-dessus du pelvis et du sacrum. Ces vertèbres composent le segment le plus large de la colonne vertébrale, car elles sont principalement responsables du soutien du poids du haut du corps. En haut, les vertèbres lombaires s'articulent avec la douzième vertèbre thoracique, et en bas, avec la première vertèbre sacrée pour former l'articulation lombosacrale.
Le sacrum est un os de forme irrégulière constitué d'un groupe de cinq vertèbres fusionnées dans la zone de ce que l'on appelle communément la base de la colonne vertébrale. Le sacrum est important, car il forme un lien entre la colonne vertébrale et les os iliaques et joue également un rôle important dans la stabilité de la hanche. Le sacrum s'articule en haut avec la cinquième vertèbre lombaire formant l'articulation lombosacrale et en bas avec la base du coccyx pour former l'articulation sacrococcygienne. Il s'articule également avec les os iliaques du pelvis pour former les articulations sacro-iliaques.
La partie la plus inférieure de la colonne vertébrale est composée de trois à cinq vertèbres coccygiennes fusionnées formant le coccyx. Le coccyx s'articule en haut avec l'apex du sacrum, formant l'articulation sacrococcygienne.
Maintenant que nous avons une compréhension générale de la structure de la colonne vertébrale et de ses régions, examinons de plus près les caractéristiques d'une vertèbre typique.
Savez-vous qu’il n’existe pas de vertèbres identiques ? En effet, leur taille et leurs caractéristiques varient notamment d'une région à l'autre. Cependant, la plupart des vertèbres ont une structure de base et sont donc appelées vertèbres typiques. Une vertèbre typique se compose d’un corps vertébral, d’un arc vertébral et de sept processus. Les vertèbres du sacrum et du coccyx étant fusionnées, elles ne répondent pas à la structure générale d'une vertèbre typique. Toutefois, cette structure typique peut être identifiée dans les vertèbres des régions cervicale, thoracique et lombaire.
Ici, nous avons isolé une vertèbre de la région thoracique. Cependant, nous n'allons pas nous concentrer sur une vertèbre spécifique, mais plutôt sur les caractéristiques générales d'une vertèbre typique. Commençons donc par le corps vertébral.
Le corps vertébral est la structure de soutien de la colonne vertébrale. Il doit donc être grand et solide. Le corps vertébral fait face antérieurement, donc si vous regardez la colonne vertébrale d'un point de vue antérieur, ce sont principalement les corps vertébraux que vous verrez. La taille de chaque corps vertébral augmente à mesure que nous descendons dans la colonne vertébrale. Par conséquent, le corps vertébral d'une vertèbre cervicale sera beaucoup plus petit que le corps vertébral d'une vertèbre lombaire. Les disques intervertébraux séparent chaque corps vertébral des vertèbres adjacentes. Les facettes costales sont uniques aux corps vertébraux des vertèbres thoraciques.
Les vertèbres thoraciques s'articulent avec les côtes de la première à la douzième au niveau des facettes costales supérieure et inférieure du corps vertébral, et au niveau de la facette costale du processus transverse. Les vertèbres thoraciques typiques présentent deux facettes costales sur les processus transverses et quatre demi-facettes sur chaque corps vertébral, donnant un total de six facettes costales par vertèbre.
Une vertèbre typique se caractérise également par l’arc vertébral. Ce dernier est situé en arrière du corps vertébral et forme la face postérolatérale de chaque vertèbre. Chaque arc vertébral est constitué de deux pédicules et de deux lames. Ces derniers forment avec le corps de chaque vertèbre une cavité appelée foramen vertébral. Nous explorerons cette structure plus en détail plus tard, examinons d'abord de plus près les caractéristiques osseuses de l'arc vertébral.
La partie ventrale la plus étroite de l’arc vertébral est connue sous le nom de pédicules. Il s’agit des protubérances dorsales courtes et arrondies de la face supérieure du corps vertébral. Les pédicules présentent des incisures vertébrales supérieure et inférieure, qui forment des foramens intervertébraux en s’articulant avec les vertèbres adjacentes. Les foramens intervertébraux facilitent le passage des nerfs spinaux provenant la moelle spinale.
La partie dorsale la plus large de l’arc vertébral est connue sous le nom de lame. Les lames sont de larges plaques osseuses qui font saillie postéromédialement à partir des extrémités postérieures des pédicules. Ils forment les parties postérolatérales de l'arc vertébral et les parois postérolatérales du foramen vertébral. Les lames forment le toit du canal vertébral et relient les processus épineux aux processus transverses que nous examinerons par la suite.
Sept processus vertébraux émergent de l'arc vertébral, dont un processus épineux, deux processus transverses et quatre processus articulaires. Les processus vertébraux servent de points d'attache aux ligaments et aux muscles du dos. Ils participent également à former des articulations. Le processus épineux est une saillie osseuse qui naît de la face postérieure de la jonction des lames. Les processus épineux varient en taille, en forme et en trajectoire. Cependant, ils se situent généralement dans le plan médian et se projettent vers l'arrière. Ils jouent le rôle de point d’attache pour les muscles et les ligaments du dos.
La structure et la longueur de chaque processus épineux peuvent différer selon les régions vertébrales. Les processus épineux des vertèbres cervicales sont souvent plus courts et plus petits que les processus épineux des vertèbres thoraciques et lombaires, et sont aussi bifides. Bien que les vertèbres cervicales ont généralement des processus épineux plus courts, le processus épineux le plus visible peut être observé au niveau de la septième vertèbre cervicale. Si vous rentrez votre menton et palpez la face postérieure de la base du cou, vous pourriez sentir une petite proéminence osseuse, il s’agit là de votre processus épineux C7.
Les deux processus transverses naissent latéralement à partir de l'arc vertébral de chaque côté au niveau des jonctions entre les lames et les pédicules. Ils constituent un point d'attache important pour les muscles et les ligaments du dos et du cou qui facilitent la rotation et la flexion latérale. Il existe une variation régionale considérable dans leur longueur et leur structure. Par exemple, dans la région cervicale, les processus transverses sont souvent plus courts, portent des tubercules antérieur et postérieur et un foramen transverse. Ils sont généralement situés en avant des processus articulaires, latéralement aux pédicules et entre les foramens intervertébraux.
Dans la région thoracique, les processus transverses sont situés en arrière des pédicules et leur largeur diminue à mesure que les vertèbres thoraciques descendent. Les processus transverses des trois vertèbres lombaires supérieures sont généralement larges, mais ont été observés comme étant plus étroits dans les deux vertèbres lombaires inférieures. Dans la région lombaire, les processus transverses sont situés en avant des processus articulaires et en arrière des foramens intervertébraux.
En passant au dernier groupe de processus vertébraux, nous rencontrons les quatre processus articulaires. Les processus articulaires sont des saillies osseuses qui s'articulent avec les vertèbres supérieure et inférieure. Ils sont divisés en deux processus articulaires supérieurs et deux inférieurs. Les processus articulaires supérieurs, comme leur nom l'indique, sont situés sur la face supérieure de l'arc vertébral. Ce sont les deux processus saillants vers le haut au niveau de la jonction entre les lames et les pédicules. Sur chaque processus articulaire supérieur se trouve une surface lisse et aplatie connue sous le nom de facette articulaire supérieure.
Les facettes articulaires supérieures se connectent aux facettes articulaires inférieures de la vertèbre située au-dessus, formant une articulation zygapophysaire. Les processus articulaires inférieurs sont deux processus saillants vers le bas situés sur la face inférieure de chaque arc vertébral. Ils possèdent des facettes articulaires inférieures qui s'articulent avec les facettes articulaires supérieures de la vertèbre située en dessous, formant également les articulations zygapophysaires que nous avons précédemment mentionnées.
La dernière caractéristique d’une vertèbre typique est l’ouverture centrale appelée foramen vertébral. Les limites du foramen vertébral sont formées par la face postérieure du corps vertébral en avant et par l'arc vertébral en arrière. Une série continue de foramens vertébraux s'étendent de la première vertèbre cervicale à la cinquième vertèbre lombaire et forment collectivement le canal vertébral qui abrite la moelle spinale. La taille des foramens vertébraux diminue progressivement à mesure que nous descendons dans la colonne vertébrale. Par conséquent, les foramens vertébraux de la région cervicale sont plus grands que les foramens vertébraux de la région lombaire.
La forme du foramen vertébral peut également différer selon les régions vertébrales. Les vertèbres cervicales et lombaires ont des foramens vertébraux de forme triangulaire tandis que les vertèbres thoraciques ont des foramens vertébraux de forme plus ronde ou ovale.
Maintenant que nous avons exploré la structure et les caractéristiques typiques des vertèbres, intéressons-nous aux courbures de la colonne vertébrale.
De cette vue antérieure, la colonne vertébrale semble plutôt droite. Cependant, si nous changeons de perspective pour adopter une vue latérale, nous pouvons voir qu'il y a quelques virages en cours de route. Les quatre courbures de la colonne vertébrale participent au soutien et à la flexibilité du corps, et sont retrouvées dans les régions cervicale, thoracique, lombaire et sacrée de la colonne vertébrale. Elles peuvent être divisées en deux courbures primaires et deux courbures secondaires.
Les courbures thoraciques et sacrées sont appelées courbures primaires, car elles apparaissent au cours du développement embryonnaire. Ces courbures sont concaves antérieurement et convexes postérieurement en raison de la position fœtale fléchie. Elles sont appelées cyphoses. La cyphose thoracique s'étend entre la deuxième et les onzième et douzième vertèbres thoraciques. Cette courbure est provoquée par les différences de hauteur entre les composants antérieurs et postérieurs des vertèbres. La cyphose thoracique a un degré de courbure normal d'environ 20 à 50 degrés.
La concavité antérieure de la région sacrée est connue sous le nom de cyphose sacrale. Elle implique les vertèbres sacrées et coccygiennes et s'étend de l’articulation lombosacrale jusqu'à l’apex du coccyx. Le degré de courbure sacrée de la colonne vertébrale féminine est généralement réduit, ce qui entraîne une diminution de la protrusion du coccyx dans l'orifice pelvien inférieur, maintenant ainsi la perméabilité du canal génital.
Les courbures secondaires apparaissent à la fin de la période fœtale, en raison de l'extension du dos en position fœtale fléchie et ne deviennent évidentes qu'au cours de la petite enfance. Les courbures secondaires sont constituées des lordoses cervicale et lombaire. La lordose fait référence à la concavité postérieure de la colonne vertébrale visible depuis sa vue latérale. Les courbures secondaires ne sont pas des courbures permanentes et sont maintenues pendant l'enfance et l'âge adulte en raison des différences d'épaisseur entre les parties antérieures et postérieures des disques intervertébraux.
À mesure que nous vieillissons, nos courbures secondaires peuvent disparaître et la colonne vertébrale se dessine en une courbe qui se rapproche de la forme d’un “C”. Ceci est le résultat de la dégénérescence des disques intervertébraux dans le cadre du processus naturel de vieillissement. La lordose cervicale apparaît tard dans la vie fœtale et devient plus prononcée entre 6 et 12 semaines après la naissance, lorsque le nourrisson commence à maintenir sa tête. La concavité postérieure de la courbure cervicale est relativement peu profonde par rapport au degré de courbure de la lordose lombaire. Elle commence au niveau de la dent de l’axis et s'étend jusqu'au niveau de la deuxième vertèbre thoracique.
La lordose lombaire apparaît lorsqu'un enfant commence à s'asseoir autour de six mois. Elle devient de plus en plus marquée à mesure que l'enfant commence à se tenir debout et à marcher. Elle atteint son plein développement vers l'âge de deux ans, une fois la marche adulte acquise. La courbure lombaire commence au niveau de T12 et se termine au niveau de l'articulation lombosacrale. Elle a pour fonction de maintenir le tronc droit en position debout. Les modifications de l'inclinaison du pelvis s'accompagnent de modifications de la courbure lombaire dans le but de maintenir la verticalité du tronc. Le port de talons hauts provoque l’antéversion du pelvis, augmentant ainsi le degré de lordose lombaire. La même chose survient pendant la grossesse, lorsque le centre de gravité change, ce qui entraîne une accentuation de la lordose lombaire dans le but de stabiliser le tronc.
Maintenant que nous avons assimilé la notion de courbure de la colonne vertébrale, nous pouvons désormais explorer ses fonctions et ses mouvements dans son ensemble.
L'amplitude du mouvement de la colonne vertébrale varie en fonction de la région vertébrale et de l'individu. La mobilité de la colonne vertébrale est possible grâce à la compressibilité et à l'élasticité des disques intervertébraux. La colonne vertébrale permet des mouvements de flexion, d'extension, de flexion latérale et de rotation. Ces mouvements sont principalement facilités par les muscles du dos. Cependant, ils sont également assistés par la gravité et l’action des muscles abdominaux antérolatéraux.
Les courbures normales de la colonne vertébrale contribuent également à sa flexibilité, car elles confèrent une résistance contre les forces de compression axiales qui sont absorbées par ces mêmes courbures. Les régions cervicale et lombaire de la colonne vertébrale permettent la plus grande amplitude de mouvement. Les structures et caractéristiques qui stabilisent et résistent au mouvement de la colonne vertébrale comprennent l'épaisseur, l'élasticité et la compressibilité des disques intervertébraux, la forme et l’orientation des facettes articulaires, la tension des capsules articulaires des articulations zygapophysaires, et enfin, la résistance des muscles et des ligaments du dos. En plus de fournir une structure flexible au tronc, la colonne vertébrale sert également à protéger et à contenir la moelle spinale qui traverse toute sa longueur dans le canal vertébral.
Ouf ! Cela fait beaucoup d'informations sur la colonne vertébrale. Consolidons ensemble ces connaissances en les mettant en pratique avec quelques notes cliniques.
Comme nous l'avons vu, la colonne vertébrale n'est pas une structure droite, mais possède quatre courbures, qui assurent soutien et flexibilité de mouvement. Des courbures anormales de la colonne vertébrale peuvent également exister et résultent souvent d'anomalies du développement ou de processus pathologiques. L'hypercyphose, communément connue sous le nom de dos voûté, se caractérise par une accentuation anormale de la courbure thoracique entraînant une courbure postérieure de la colonne vertébrale. Cette anomalie peut résulter d'une érosion de la partie antérieure d'une ou de plusieurs vertèbres à la suite d’une ostéoporose, d’un affaiblissement musculaire ou du vieillissement. Un angle de cyphose supérieur à 50 degrés indique une hypercyphose.
L'hyperlordose, aussi connue sous le nom de dos cambré, se caractérise par une antéversion du pelvis par laquelle la partie supérieure du sacrum s'incline vers l'avant au niveau des articulations coxofémorales. Ce mouvement produit une accentuation anormale de la lordose lombaire entraînant une courbure plus antérieure de la colonne vertébrale. L'hyperlordose est souvent associée à un affaiblissement des muscles du tronc, en particulier des muscles abdominaux antérolatéraux, et est fréquemment observée pendant la grossesse ou en cas d'obésité. Un angle de lordose supérieur à 40 degrés est révélateur d’une hyperlordose.
La scoliose est caractérisée par une courbure latérale anormale de la colonne vertébrale qui s'accompagne d'une rotation des vertèbres. Les processus épineux se tournent vers la concavité de la courbure anormale et lorsque l'individu se penche, les côtes tournent postérieurement du côté de la convexité qui s’accentue. Une faiblesse asymétrique des muscles intrinsèques du dos, un défaut de développement de la moitié d’une vertèbre et une différence de longueur des membres inférieurs sont des causes de scoliose.
Les traitements d’une courbure anormale du dos dépendent de l’étiologie. Ils sont souvent traités par kinésithérapie et, dans les cas avancés, par fusion chirurgicale et le port de corset. Dans les cas où l’hyperlordose résulte de l’obésité, une perte de poids et de l’exercice physique sont recommandés.
Et c'est tout pour aujourd'hui. J'espère que vous avez apprécié notre exploration de la colonne vertébrale. Bonnes révisions !